ma 2 éme prochaine ,une marque confidentielle (bis repetita) jamais vue sur le forum

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bon finalement ,je suis un peu


donc ce sera pour demain les copains

ça c'est du teasing non ?

[Webmestre]

bon finalement ,je suis un peu


donc ce sera pour demain les copains

ça c'est du teasing non ?

ça peut se comprendre, l'attente est longue

[jlg2]

la lenteur de ma connection internet est cause aussi de cette difficulté pour uploader les photos

[jlg2]

bon,je vous présente mon nouveau petit chrono






















et son mouvement magnifique :






je pense que Michel se fera un plaisir de nous compiler un post historique sur cette belle manufacture ,que est revenue sur le marché moderne ...mais dans un autre style


et des prix plus accessibles du tout

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ce chrono est daté des années 1945


pour patienter ce que dit Wikipédia de Bovet,je cite :



"Édouard Bovet, dit Édouard Bovet de Chine, né le 14 septembre 1797 et mort le 25 octobre 1849 à Fleurier, est un négociant en horlogerie.


En 1814, avec deux de ses frères, il se rend à Londres. En 1818, il est engagé par la maison d'horlogerie anglaise Maniac comme horloger à Canton, en Chine. C'est ainsi qu'à l'âge de vingt et un ans, le 20 avril 1818, il embarque à bord de l'Orwell, de la Compagnie des Indes orientales, navire le plus rapide du moment.
Le 16 août 1818, l'Orwell jette l'ancre à la porte du Tigre après « un voyage assez pénible et le plus court qui ait jamais été fait ».

Bovet en Chine
Après quatre années de travail pour Maniac, Édouard Bovet s'est initié au commerce avec les Chinois. Il décide de se mettre à son compte. Le 1er mai 1822, il signe, avec ses frères, Frédéric et Alphonse établis à Londres et Gustave resté à Fleurier, un contrat en nom collectif pour l'exportation de montres depuis Londres.
Édouard Bovet a une idée. Il remarque que non seulement les mandarins, mais l'ensemble des Chinois sont friands de montres. Il veut donc vendre des montres de qualité à des prix abordables au reste de la population qui est souvent délaissée par le marché.
L'affaire des Bovet est florissante. La montre Bovet dope l'économie du Val-de-Travers. En 1840, ce n'est pas moins de cent septante-cinq2 ateliers d'horlogerie qui travaillent pour Bovet à Fleurier, à Saint-Sulpice et aux Bayards.
Les Bovet adaptent leurs montres au goût chinois. Les montres Bovet ont le mouvement orné de fines gravures et une cuvette en verre pour observer ce mouvement, qui est souvent doré ou carrément en or. Les Chinois aiment les sujets petits et en relief.
À l'époque, en Chine, les montres sont vendues par paire. Ce n'est pas seulement pour satisfaire au goût chinois de la symétrie, mais aussi à cause de l'éloignement des ateliers : si la montre doit être envoyée à la réparation, il arrive qu'il faille attendre son retour pendant deux ans. Mieux vaut donc posséder une montre de rechange.
Les Bovet sont les premiers à inscrire leur nom en chinois sur les cadrans de montre. La marque devient tellement célèbre que le terme « poway », soit « bovet » selon la prononciation chinoise, devient synonyme de montre.
Bovet à Neuchâtel
Les Bovet sont également les chefs de file des républicains neuchâtelois.
Le coup d’État manqué au château de Neuchâtel, avec Alphonse Bourquin, en 1831, vaut à Édouard Bovet un décret de prise de corps et un exil de dix-sept ans à Besançon.
Édouard Bovet reviendra à Fleurier en 1848, après l'instauration de la République à la suite de la révolution du 1er mars 1848 à Neuchâtel qui mit fin au règne du roi de Prusse sur la principauté de Neuchâtel.
Édouard Bovet meurt en 1849, un an après son retour au Val-de-Travers.
Fleurier conserve en souvenir d’Édouard Bovet la maison qu'il habitait avec son fils, né d'une Chinoise, à son retour en 1830. Cette maison cossue était appelée « Le Palais chinois ». Il s'agit de l'actuel hôtel de ville.
À partir de la génération suivante, les Bovet abandonnent l'horlogerie à Jules Jéquier et Charles-Ernest Bobillier auxquels s'associe Ami Leuba, et ils se concentrent sur le commerce d'import-export, en particulier du thé et de la soie".

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Pour la 2 éme vie de la manufacture :

Renaissance de la marque dans les années 2000 sous l'impulsion de Pascal Raffy, Président de BOVET, qui lui donne un nouvel essor.

C'est en juin 2006 que Pascal Raffy rachète trois structures manufacturières d’horlogerie, STT holding. Ces sociétés acquises par Bovet et renommées DIMIER SA, un nom qui appartient au patrimoine de Bovet, sont installées à Tramelan au cœur du Jura Bernois.

La production annuelle de BOVET représente près de 2000 montres seulement. Elle est déclinée en deux lignes majeures : la ligne FLEURIER et la ligne SPORTSTER.

[Webmestre]

Je ne connais pas bien cette marque Jean-Louis et je n'ai malheureusement aucune archive sur elle, je ne veux pas recopier simplement ce qui est déja sur le net, ce que j'aime PARTICULIEREMENT c'est faire des postes historiques AUTREMENT, grâce en général a des reconstitutions, des recherches, des archives et des textes personnels, c'est pourquoi je vais simplement noter ce que je sais sur Bovet :

Edouard Bovet a 24 ans quand il ouvre un commerce de montres à Canton en CHINE. Vous avez bien lu en Chine, pourtant étant natif de Fleurier, ce qui ne veut pas dire qu'il n'a pas utilisé des mouvements Suisses, en voici la preuve avec le chronographe de Jean-Louis pourtant.

[jlg2]

merci de ta remarque Michel


et content que ce petit chrono te plaise


je viens avec le 7 prochain

[Webmestre]

merci de ta remarque Michel


et content que ce petit chrono te plaise


je viens avec le 7 prochain

Jean-Louis, je connais ta GRANDE intelligence et j'en attendais pas moins de ta part au niveau de ce post.

Je suis pressé de voir de près ce chronographe, il s'agit peut-être d'un Vénus 170.

Amicalement

[jlg2]

tu me fais rougir en public

le Vénus est effectivement un candidat (mais pas albicans hein ) possible


un Lémania n'est peut être pas à exclure non plus ?????

[Webmestre]

tu me fais rougir en public

le Vénus est effectivement un candidat (mais pas albicans hein ) possible


un Lémania n'est peut être pas à exclure non plus ?????

Il faut voir de près Jean-Louis.

[jlg2]

mais c'est prévu mon Michel ,c'est prévu

[DidierL]

Moins courant les compteurs que les autres

[jlg2]

oui,ça change un peu

je n'en avais pas de comme ça ...c'était l'occasion

[PhilouD]

Un beau chrono bien vintage ! et il ne semble pas très petit ( 36mm ?) et en effet la configuration des compteurs à 12h00 et à 6h00 n'est pas courante ...

Jean Louis !

[jlg2]

merci

en fait il fait 34mm sans la couronne


pour Michel : j'ai bien regardé à la loupe ,il y a 2 marquages

SXK sur un pont et LL sur l'intérieur du fond et c'est tout .

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